D’anima

D’anima, c’est 11 titres qui nous transportent au cœur même de la diversité du groupe : Un Ghjornu et Lamentu di u Castagnu, sculptés sur un matériau plus traditionnel, viennent pourtant donner naissance à des chants surprenants, emplis de fougue et de vivacité et in fine d’une incroyable contemporanéité.

Maria, Si vita si, Incantesimu et Quantu Volte sont proposées ici dans une interprétation et une orchestration nouvelle et totalement retravaillée.

Une tonalité audacieuse qui se manifeste également dans Mare Nostrum, terriblement d’actualité, et l’intemporel Goccia a Goccia, petite goutte d’espoir à laquelle le groupe donne toute sa densité ou encore Ti dicerà, ode magnifique à la vie et à ses beautés.

De bout en bout, D’anima offre une kyrielle de couleurs, de tons et de sonorités nouvelles et flamboyantes, un « cadeau » qui est l’aboutissement de quinze années de passion et de travail.

 

 

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Via Crusis

Christina Pluhar a reconstitué une véritable « passion Latine » à partir de différentes pièces issues du répertoire savant du XVIIème siècle mais aussi des pièces populaires – chants corses ou italiens – démontrant la convergence des sentiments universels de douleur et de ferveur.

Capable tant d’exalter la subtilité du répertoire baroque que d’enflammer les rythmes de la musique traditionnelle et d’allier les deux dans une alchimie scintillante, l’Arpeggiata incarne tout le soleil de la méditerranée, subjuguant tous ceux, soucieux de passer un moment de pure ivresse.

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Adasgiu

C’est le premier album du groupe, enregistré en avril 2004 et sorti sous le label Buda Musique.

il est le fruit du travail réalisé par la formation depuis sa création en 2001. Entièrement dédié à la voix, les titres sont interprétés pratiquement tous « a capella ».

Composé de chants sacrés et profanes, de créations, d’adaptations et de vieux chants restés dans la mémoire collective, l’enregistrement a été réalisé dans différents lieux afin de prendre en compte l’esprit de chaque oeuvre.

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In Santa Pace

Ce deuxième album de la formation garde une esthétique musicale identique au premier opus mais on y retrouve un répertoire beaucoup plus personnel où les créations ont pris une place plus importante.

Les deux répertoires, sacré et profane, restent intimement liés, se nourrissant l’un de l’autre comme ils l’ont certainement fait depuis longtemps.

Des chants de facture contemporaine viennent se confronter aux traditionnels et parfois même se mêler dans un même chant, matériaux ancien pour un édifice plus contemporain, comme si la tradition refusait de se laisser enfermer dans un espace temps.

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Sì vita Sì

Au grand jour. C’est ainsi que Barbara Furtuna nous apparait sur la couverture de ce troisième album. De leurs pérégrinations sur les scènes insulaires et internationales, au gré de leurs rencontres et collaborations prestigieuses, les quatre garçons ont ramené de nouvelles envies et une ambition décuplée. De la polyphonie traditionnelle toujours, bien sûr. Oui, mais pas seulement. Barbara Furtuna ne s’interdit plus rien et accueille désormais de manière quasi permanente un cinquième larron en son sein : l’instrument. La rencontre est belle et foisonnante et le spectre balayé par les nombreuses créations est étonnant. C’est donc ça, « Si Vita si », rien moins qu’une volonté affichée d’embrasser passé et présent, racines et envol, en un même geste artistique, pour inventer le futur de la musique populaire corse. Savoir d’où l’on vient, savoir où l’on va et surtout comment on veut y aller : Barbara Furtuna est bien à l’image de son île.

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